Bah, faut savr le prendre le Florian. Moi, je l'aurais mieux vu en acteur ou chanteur, mais bon en romancier il ne se débrouille pas si mal.
La fascination du pire. Archiambigu, guidé par la peur d'aller trop loin, de se situer, de prendre parti. Difficile qd on souhaite agiter des thématiques telles que le "conflit des civilisations", l'islamisme, l'immigration, etc.
Et là est son principal mérite, il réussit assez bien ce tour de force. On reste songeur cela dit. Car tout repose sur cet exercice de style, et on en vient à se dire que Florian est peut-être un brin superficiel.
Il semble d'ailleurs avoir déjà changé de registre, se lançant dans le roman comique. Et pourquoi pas ?